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91. C’était le bon temps ! en février 1955

Février 2005 – Février 1955

Par Jean-René Legris,
_ Jeune retraité actif- Fête du centenaire

Le Syndicat prépare activement la fête du centenaire de la fondation du groupement 1855-1955.
Les festivités vont démarrer avec un banquet officiel sous la présidence de Monsieur le Ministre.
La fête va durer trois jours, alternant visites et réjouissances, du bal classique jusqu’à un spectacle nocturne stéréophonique.

Congrès national

Ces réjouissances n’empêche pas la préparation du Congrès.
Au menu, encore et toujours le statut !
La question de l’Ingénieur Divisionnaire est toujours en instance à la direction du Budget qui craint les répercussions sur d’autres catégories et notamment celle des Ingénieurs des Travaux.

NDLR : «On reconnaîtra une certaine constance dans l’argumentation !!»

Projet de création des chemins agricoles

Après l’action menée par le Syndicat, il semble que ce danger soit écarté et que les prérogatives et intérêts de l’administration des Ponts et Chaussées soient préservés.

Traitements et salaires !

Le Congrès proposera une motion pour poursuivre une action énergique avec la Fédération Générale des Fonctionnaires (FGF) pour la revalorisation générale des traitements.
Le mécontentement gronde dans la Fonction Publique.
Une plate-forme revendicative est présentée par la FGF pour obtenir un alignement sur le secteur nationalisé.
Après les pétitions auprès des parlementaires, les communiqués de presse, la grève est sérieusement envisagée.

La pensée du Secrétaire Général

G. LABRO observe que les questions corporatives qui préoccupent le groupement font l’objet d’interventions persuasives. Mais constate-t-il :
« Il ne suffit pas d’avoir raison pour obtenir satisfaction »

_ Dans la panoplie classique des motifs de refus :
-* Répercussions possibles sur d’autres corps de fonctionnaires,
-* Augmentation des dépenses budgétaires alors que les crédits sont insuffisants,
-* Modification d’habitudes administratives judicieuses
-* Modification (inconcevable !) de décret ou d’arrêté s’opposant à la revendication.

NDLR : «Encore et toujours, rien de nouveau sous le soleil administratif en somme !»

Jean-René LEGRIS

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